« Les Chars Mossuz » – Création de 13 villas

  • Programme : Construction de 13 maisons individuelles
  • Maître d’ouvrage : promoteur privé
  • Architectes : APOPSIS (mandataire) / – NAUD-PASSAJON ARCHITECTES (Architectes associés)
  • Maître d’œuvre (équipe) : PROCOBAT – Économiste / D.G.E.A – BE structure / SETIC – BE Fluides / MPC – BE VRD / CRC – MOE EXE OPC
  • Montant des travaux : NC
  • Surface : 1 952 m² SDP (Bât neuf)
  • Durée des travaux (estimation) : 24 mois
  • Missions : Mission de base Loi MOP + suivi architectural
  • État : ACT en cours
  • Année de réalisation : 2024-2026
Pour ce projet de lotissement, nous avons souhaité ré-interroger le vocabulaire architectural des bâtiments traditionnels du Chablais. Les maisons sont disséminées dans la pente et présentent une morphologie traditionnelle : faitage perpendiculaire à la pente, « pignon » ouvert, toiture deux pans à faible pente, 3 niveaux identifiables, grande « galerie », matérialité… tous les « codes » traditionnels ont été travaillés et réinterprétés dans ce projet.
Les maisons s’étagent sur 3 niveaux :
  • le niveau encastré dans la pente traditionnellement réalisé en pierre est ici proposé en béton matricé. Il accueille la partie « nuit » de l’habitation : chambre, salles de bains, etc… ainsi que le garage. Les occultations sont traitées en volets bois coulissants. les ouvertures y sont fines et discrètes
  • le niveau intermédiaire accueille les pièces de vie, et la suite parentale. Elles s’ouvrent sur une large galerie, et une vaste terrasse au dessus du garage. En ossature bois bardée, les occultations contemporaines (BSO) sont totalement intégrées et invisibles lorsqu’elles sont ouvertes. Les ouvertures sont plus grandes qu’à l’étage des chambres, afin de s’ouvrir largement sur le paysage et faire entrer d’avantage de lumière naturelle. Ce niveau est de plain pied avec le jardin de l’habitation.
  • le niveau haut accueille une mezzanine, ou un grand volume sur les peines de vies. Les ouvertures se resserrent, et se font discrètes derrière des clins verticaux, évoquant les ventilations des greniers traditionnels.
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